Peut-être

 


 

La vie est courte on a parfois tendance à l’oublier

Et à donc à s’oublier sur des chemins pourris

Il m’arrive souvent de penser à ma vie





Et très souvent de penser aux erreurs du passé





Comment ne pas les reproduire, preuve que j’ai évolué







Evaluer ce que j’ai accompli de bien et de beau

Mais quand je regarde le tableau je ne le trouve pas beau

Je pense parfois à l’enfer et au paradis

A des demoiselles qui ont aimé le damoiseau que j’étais et qui ont vécu un enfer

Alors qu’elles pensaient à mes côtés vu mes qualités vivre un paradis

Mais voilà il y a des choses sur terre dont je n’en ai rien à faire

Et sur ces choses je n’ai jamais su me taire

Je suis un être curieux aux bien étranges envies





Je m’intéresse frénétiquement aux mystères de cette vie

Et j’y accorde un temps plus que conséquent

Mon esprit se projette souvent de la terre à l’infini

Et a bien du mal à se contenter de ce « monde fini »

Monde que je trouve à bien des égards totalement ennuyeux

Je ne suis pas envieux car pour moi les gens « admirés » sont souvent des êtres odieux





Les humains, j’ai de plus en plus souvent tendance à leur tourner le dos

Car je vois certains qui me sourient comme des escrocs qui cachent un poignard dans le dos

Trop de trahisons qui sont les raisons de mes envies d’évasion





La confiance ? Un mot quasiment banni de mon dico perso

Alors je marche souvent, activité pour moi aux nombreuses vertus

Car cette société mentalement à petit feu me tue

Ma vision du paradis est très éloignée de celle de beaucoup de gens





Moi je recherche la paix du cœur, de l’âme et de l’esprit

Habile de la plume, j’envoie mes pensées aux 4 vents

Trop de femmes de ma part se sont pris un vent

Je ne m’en vante pas, je suis même triste pour elles

Quoique pas trop pour les arrogantes qui se croyaient trop belles

La seule beauté qui vaille le coup tu sais c’est laquelle

L’autre est trop liée aux aléas d’une vie de mortel

Je suis un homme de paix et je n’entends pas vivre une vie de querelles





Peut-être qu’un jour je trouverai celle qui fera vibrer mon âme

Celle que je prendrais plaisir à appeler ma femme

Qui fera vibrer mon cœur que j’appellerai mon âme-sœur

Et dont j’aurais à cœur de faire le bonheur

Je ne sais pas si c’est possible où si c’est une quête impossible comme la quête de paix de paix de Jonathan Wick

J’attends la rencontre ou l’évènement qui provoquera le déclic

Comme ce rêve puissant qui a fait de l’athée que je fus à nouveau un croyant

Je guette les signes et j’avance bon an mal an

Peut-être qu’un jour je retrouverai ma joie de vivre d’antan





Que ma plume redeviendra celle qui écrit de beaux poèmes

Et que je dirai chaque matin à une belle muse à quel point je l’aime..

 

Grain de poussière 






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