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Des grains de poussière

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  Ils disent ne pas croire en Dieu parce qu’ils ne le voient pas Comment peut-on avoir un niveau de réflexion si bas ? Ils n’ont pas compris que ce que l’on ne voit pas a sur nos vies un impact fort Méditez, apprenez et dites-moi que j’ai tort Regardez l’influence sur nos vies de nos envies Des sentiments sombres comme l’envie et la jalousie Pour moi il est évident que beaucoup de choses partent de l’esprit Comme ces superbes gratte-ciels à New York ou ailleurs Qui sont nés d’une pensée et du travail intellectuel d’ingénieurs Alors venir me faire croire que la nature est le fruit du hasard Il me semble évident que les plus érudits conviendront que c’est une incroyable œuvre d’art Une œuvre d’art est l’œuvre d’un artiste qu’on le voit ou non De vie à trépas sont déjà passés des génies comme de Leonard de Vinci Mais il reste sur cette terre des traces de leur passage Alors essaie de bien comprendre mon message Pour moi la nature est la preuve la plus évident

Moi

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  J’ai pris le stylo en m’espérant un soldat dans l’armée de l’impertinence Utiliser mes connaissances pour tenter d’intriguer et de toucher les consciences Confidence ! J’ai échoué et j’en ai aujourd’hui pleinement conscience Que faire ? Renoncer ? Je préfère comme souvent faire de preuve de patience Pensant que dans les souffrances l’homme verra la voie de sa délivrance Délivré des voix qui le conduisent tout droit à la déchéance Espoir peut-être vain, mais en quoi d’autres puis-je avoir confiance ? Je crois en Dieu, en l’homme ? Ça dépend des circonstances J’ai vu le meilleur et le pire, et je ne sais sur quel pied il danse J’avance, je me lance et sur la musique de l’espoir je me balance Un jour peut-être je renoncerai à cette terrible dépendance Celle en l’espoir de voir les gens écouter enfin leur conscience J’espère que ce jour n’arrivera pas, car confidence Ça aurait sur moi de terribles conséquences   J’ai voulu me dresser tel un fier chérubin con

Peut-être

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    La vie est courte on a parfois tendance à l’oublier Et à donc à s’oublier sur des chemins pourris Il m’arrive souvent de penser à ma vie Et très souvent de penser aux erreurs du passé Comment ne pas les reproduire, preuve que j’ai évolué Evaluer ce que j’ai accompli de bien et de beau Mais quand je regarde le tableau je ne le trouve pas beau Je pense parfois à l’enfer et au paradis A des demoiselles qui ont aimé le damoiseau que j’étais et qui ont vécu un enfer Alors qu’elles pensaient à mes côtés vu mes qualités vivre un paradis Mais voilà il y a des choses sur terre dont je n’en ai rien à faire Et sur ces choses je n’ai jamais su me taire Je suis un être curieux aux bien étranges envies Je m’intéresse frénétiquement aux mystères de cette vie Et j’y accorde un temps plus que conséquent Mon esprit se projette souvent de la terre à l’infini Et a bien du mal à se contenter de ce « monde fini » Monde que je trouve à bien des égards totalement ennu

Nuit noire

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  On dit que c’est quand la nuit est la plus noire que l’aube n’est pas loin Y a intérêt parce que comme beaucoup j’observe peu serein, le monde de demain Je vois des enfants pourris, corrompus, drogués, des bombes à retardement Un monde d’une laideur telle qu’il dépasse mon entendement Comme mon entendement a été dépassé par la cruauté d’une certaine Madeleine Vieille sorcière au nez crochu dont le visage et les propos suintent la haine Elle est le visage de cette élite inhumaine qui règne en occident Je préviens les habitants de ces contrées depuis plus de vingt ans Mais j’ai compris que pour réveiller un dormeur il faut le frapper violemment Seule la dure gifle de la réalité peut le ramener sur terre Qui sait dans quels mondes imaginaires son esprit erre Pour certains, c’est encore « l’Amérique je veux l’avoir et je l’aurai » Le spectacle funeste du nègre de maison Powell à l’ONU ne leur dit rien ? Malheureusement nous avons affaire à des amnésiques qui ne

Autant en emporte la vie

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  Je me suis toujours demandé si la terre était mon chez moi Je ne me suis jamais senti vraiment à l’aise, ici, moi Moi qui rêve de belles choses, de grandes choses Je soupire quand je vois ce que la vie trop souvent me propose Mais qui suis-je pour juger, me dis-je souvent ? Peut-être que mes bonnes résolutions ne sont que du vent Et que j’ai de bonnes pensées parce que j’ai eu la chance d’être bien né Famille aisée, aimante, posée et complètement sensée Mes parents ? Il faudrait des pages entières pour les encenser et les remercier Fier d’être leur enfant et cela je pourrai le répéter aussi souvent que nécessaire Et je sais combien n’ont pas eu la chance d’avoir une bonne famille sur terre Et justement cela me fait penser que j’ai eu une grâce inouïe Je suis peut-être une exception et je trouve cela inouï Profites-en me disent certains et ne posent plus autant de questions S’ils savaient à quel point de la remise en question je suis un champion Des quest